Episode Transcript
[00:00:00] Bienvenue sur le podcast de l'Église. Bonne écoute. Je vais vous parler de la grâce de Dieu. La grâce de Dieu, on entend souvent parler de grâce. Et je vais vous parler d'une grâce qui n'est pas inconditionnelle.
[00:00:26] Et la grâce, on le met d'une autre façon, à la forme affirmative, elle est conditionnelle. La grâce de Dieu n'est pas inconditionnelle, la grâce de Dieu est conditionnelle. Et il y a des choses qui passent aussi sur les réseaux sociaux, et quelqu'un avait mis sur un réseau social « Le voleur sur la croix s'intègre-t-il à notre théologie ? » Alors, cette publication, bien sûr, elle semble en partie peut-être promouvoir une espèce, une forme de grâce qui est inconditionnelle et sans règle. Mais peut-être c'est une nouvelle variante d'un faux érangile de la grâce qui reviendrait essentiellement à autoriser le péché une fois qu'on a la grâce de Dieu.
[00:01:26] Et qu'est-ce que le vrai évangile, en fait? Eh bien, c'est une offre temporaire. Première chose, c'est croire au Seigneur Jésus Christ. Ensuite, c'est se détourner du péché. Ensuite, c'est être pardonné par la grâce. Quatrièmement, c'est être habité est revêtu de la puissance du Saint-Esprit, est enfin accepté de suivre le chemin étroit qui mène à la vie. Que Jésus a tracé, ainsi dans son serment sur la montagne, et que tous les apôtres ont réitéré ensuite dans leurs lettres. Je parlais dernièrement avec quelqu'un et je lui disais, mais tu sais, la vie chrétienne, c'est pas... Jésus ne nous a pas destinés de marcher sur une voie très large, très facile. C'est quelque chose qui est... Le chemin est étroit. Alors le chemin de la vie semble large, on peut marcher dans la rue et avoir un bon jump, c'est merveilleux, il n'y a pas de soucis. Mais le chemin est étroit, c'est un chemin spirituel plutôt qu'un chemin de facilité mondain. On ne doit pas faire ce... Enlever toute notre condition, on ne va pas faire comme les moines et se dire, voilà, je vais m'habiller avec un peu de toque et puis je vais faire bénitence et puis marcher et boire de l'eau et puis manger que de la soupe. Non, ce n'est pas ça le chemin étroit. Le chemin étroit, c'est renoncer au monde et ne plus aimer ce qu'il y a dans le monde. Bien sûr, jouir de ce que Dieu, par sa grâce, nous donne. Si on a fait des études et qu'on a un bon métier, merci Seigneur, parce qu'on a travaillé pour. Mais c'est autre chose. Donc, je reviens à ma pensée dans cet enseignement. Donc, on va examiner dans cet enseignement d'aujourd'hui quelques rencontres que Jésus a faites avec d'autres personnes qui, comme le brigand sur la croix, aspirait au paradis. Et chaque rencontre révèle clairement la grâce conditionnelle, on verra ça ensemble, de Jésus donc, du salut de Jésus. Et il est bon de s'assurer que chaque rencontre, comme celle du brigand, s'intègre vraiment à notre théologie. Et le brigand sur la croix, il lui restait en fait quelques heures à vivre.
[00:04:17] Ça, c'est sûr. Et devrait-il être le seul exemple de l'action de la grâce de Dieu dans le salut ? Je ne pense pas. Il y en a eu un autre qui est arrivé vers Jésus. Vous le connaissez certainement, vous en avez sûrement fait la lecture. C'est le jeune homme riche. Il est arrivé. Peut-être il s'est agenouillé. Devant Jésus, il demande à bon maître, que dois-je faire pour hériter de la vie éternelle ?
[00:04:47] C'est incroyable cette question. C'est vraiment cette pensée de... à un moment donné, je vais mourir. Que dois-je faire ? Et Jésus lui répondit ceci. Pourquoi m'appelles-tu bon ? Déjà, il remet les choses en ordre. Personne n'est bon, si ce n'est Dieu seul. Ensuite, il lui dit, tu connais les commandements. Ça, c'est dans Marguerite, verset 17. Tu ne commettras point de meurtre, tu ne commettras point d'adultère, « Tu ne voleras point, tu ne porteras point de faux témoignages, tu ne feras point de tort. Honore ton père et ta mère. » Et donc le jeune homme riche, il répondit ceci « Maître, j'ai observé toutes ces choses dès ma jeunesse. » Et la Bible dit que Jésus ressentit de l'amour pour lui, la compassion. Jésus dit alors « Il te manque une chose, Vends tout ce que tu possèdes, donne-le aux pauvres et tu auras un trésor au ciel. Puis, viens et suis-moi. Wow ! Donc ce jeune riche, il est venu en quête de la vie éternelle, on l'a déjà dit. Et Jésus lui dit d'observer six des dix commandements et ensuite de prendre soin des pauvres. Est-ce que ça correspond à notre théologie ?
[00:06:18] de la grâce. Peut-être qu'il y en a qui dirait, mais non, ça ne correspond pas à ma théologie parce qu'en fait je suis sous la nouvelle alliance par laquelle nous sommes sauvés par grâce et cet homme était, au moment de Jésus, sous l'ancienne alliance par laquelle les hommes étaient sauvés par les hommes. Certains diront ça. Alors pourquoi dans le Nouveau Testament, il y a plein de passages qui concordent parfaitement avec ce que Jésus a dit aux jeunes hommes riches, des passages qui avertissent clairement que les meurtriers, les adultères, les voleurs, les cupides, les menteurs, ceux qui aiment l'argent, etc., n'hériteront pas du royaume de Dieu ? 1 Corinthiens 6, 9, 10 et vous pouvez aussi voir dans Apocalypse 21, 8.
[00:07:13] Alors, est-ce que le jeune homme riche correspond à notre théologie? Il y a une autre personne, un autre personnage. C'est un docteur de la loi dont Luc X demanda à Jésus. Maître, que dois-je faire pour hériter de la vie éternelle? Encore un qui demande la même chose, mais c'est un autre personnage. Avec une autre Un autre statut. Jésus répondit, « Qu'est-il écrit dans la loi ? Qu'en penses-tu ? » Le docteur de la loi répondit, « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de toute ta pensée, et ton prochain comme toi-même. » Alors Jésus dit alors, « Tu as bien répondu, fais ceci et tu vivras. » Et ensuite Jésus ne s'est pas arrêté là.
[00:08:06] et lui a raconté l'histoire d'un bon samaritain pour l'aider à comprendre comment Dieu définit le mot prochain. Parce que c'est facile de dire. Bien sûr, il a dit, j'ai fait tout ça. Donc, est-ce que ça correspond vraiment à notre théologie, l'histoire de ce docteur de la loi ?
[00:08:34] Alors, il y a peut-être certains, peut-être certains pasteurs ou enseignants évangéliques, je ne sais pas, diraient à ceux qui répondraient comme le docteur de la loi qu'ils ont mal répondu. Alors, est-ce qu'ils contredisent l'enseignement de Jésus ou pourrait-il manquer quelque chose dans leur compréhension de la grâce de Dieu ? Voilà. Peut-être que certains aussi prétendent que Dieu a révélé à Paul que la résurrection de Jésus a inauguré une nouvelle disposition de la grâce. Voilà. Ou aucun critère de sainteté n'est requis après le salut ou pour le salut. Pourtant, Paul, il a écrit ceci clairement dans sa lettre aux Romains. Après, bien sûr, la résurrection de Jésus. Alors, il dit ceci.
[00:09:25] Dieu rendra à chacun selon ses oeuvres. Premièrement, à ceux, par la persévérance à faire le bien, cherchent l'honneur, la gloire et l'immortalité, la vie éternelle. Mais il y a un mais. Mais à ceux qui, par ambition égoïste, désobéissent à la vérité et obéissent à l'injustice, la colère et l'indignation.
[00:09:56] « La détresse et l'anglois art atteindront tout être humain qui fait le mal, pour le juif premièrement, puis pour le grec. Mais gloire, honneur et paix pour quiconque fait le bien, pour le juif premièrement, puis le grec. » Romains 2, on pourrait lire versets 6 à 10. Donc tout au long de ce... On peut se demander pourquoi tout au long de ce ministère, Paul, a toujours proclamé à chacun que chacun devrait se repentir et se tourner vers Dieu en adoptant une manière d'agir qui confirme leur changement d'attitude. On a besoin de confirmer ce changement d'attitude.
[00:10:51] Donc, je reviens au départ, notre façon d'agir, ainsi que nos actions, conditionnent bien notre salut. Ça le conditionne. Il y a une autre occasion où Jésus parle, cette fois, à beaucoup de gens. Vous connaissez, c'est lors de son sermon sur la montagne. Ça, on le trouve dans Matthieu 5. Jésus déclare que les miséricordieux obtiendront miséricorde.
[00:11:21] Encore une condition. Que les cœurs purs verront Dieu. Encore une autre condition. Et que leur royaume des cieux appartenait à ceux qui ont été persécutés pour la justice. Condition. Marc 5 et 10. Donc, on croirait que Jésus, ici, vraiment, il croyait en une norme de miséricorde.
[00:11:49] de pureté de cœur aussi, et de persécution, toutes liées à l'obtention de sa miséricorde, afin de pouvoir voir Dieu et donc hériter, comme les deux autres précédents, du royaume des cieux. Il y a encore aussi deux conditions relatives au salut. Jésus en parle.
[00:12:14] Elle est violente celle-là, mais c'est une image. Si ton oeil, si ton oeil droit, te pousse à mal agir, arrache-le et jette-le loin de toi. Car il vaut mieux pour toi subir la perte d'un seul de tes membres que de voir ton corps entier jeté en enfer. Parle à qui, là ? Il y a une deuxième chose.
[00:12:43] Et si ta main droite te pousse à mal agir, coupe-la et jette-la loin de toi, car il vaudrait mieux pour toi, il vaut mieux pour toi de subir la perte d'un seul de tes membres que de voir ton corps entier jeté en enfer. Jésus donne deux exemples. Alors peut-être il y en a qui affirment oui, mais c'est le sermon sur la montagne, ça n'applique pas à nous, car Jésus l'a prêché sous l'ancienne nuance encore une fois. Et nous sommes, nous, nous sommes sous la nouvelle. Et sommes-nous sûrs ? Est-ce qu'on est prêts à mettre en jeu notre salut ? Et peut-être le salut de ceux à qui on proclame la grâce de Dieu. Il faut faire attention que notre compréhension de la grâce soit vraiment conditionnelle. Combien de fois j'ai entendu des personnes qui... Un peu comme le catholicisme, une fois baptisé, vous êtes sauvé.
[00:13:40] C'est-à-dire vous pouvez vivre comme vous voulez, vous êtes sauvés. C'est terrible ça. Et peut-être aussi dans certaines assemblées, voilà, des évangiles qui ne sont pas conformes à l'évangile de Christ.
[00:13:58] Et même Jésus déclare à un moment donné aussi dans Matthieu 5,20 « Si votre justice ne surpasse celle des scribes et des pharisiens, vous n'entrerez pas dans le royaume des cieux ».
[00:14:20] Donc Jésus, sur le serment sur la montagne, quand il parle, en fait, il décrit vraiment un serment qui est complètement consacré à une justice pratique.
[00:14:34] En fait, et qui ne contenait aucune allusion à une justice imputée. Donc justice qui est basée sur la foi et non sur les heures. C'est très bien que les deux sont liés.
[00:14:55] J'annonce. Il a également dit, Jésus a déclaré à son auditoire sur le sermon sur la montagne, que son père ne pardonnerait pas leur péché s'il ne pardonnait pas aux autres. Donc là, encore une fois, il y a une condition.
[00:15:20] Qui peut contester que le pardon ne soit pas un acte de grâce ? Qui peut contester ? Qui peut contester à la lumière de l'avertissement de Jésus que la grâce de Dieu qui pardonne n'est pas conditionnelle ? Qui peut contester ? Notre pardon dépend de notre pardon.
[00:15:47] Deux fois une répétition, mais elle est vraie. Notre pardon dépend de notre pardon. La grâce divine qui pardonne n'est donc pas inconditionnelle, mais conditionnelle. Jésus a conclu son serment en disant « Ce ne sont pas tous ceux qui me disent « Seigneur, Seigneur » qui entreront dans le royaume des cieux. mais ceux qui font la volonté de mon Père qui est dans les cieux. C'est Matthieu 7, verset 21. C'est clair, je pense. Selon Jésus, seuls ceux qui obéissent à Dieu entreront au ciel. C'est pour ça qu'il est important de dire que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. C'est-à-dire dans ma maison, dans ma façon de vivre. Seigneur, tous les matins, on devrait prier cette prière. Seigneur, aujourd'hui, je vais au travail. Aujourd'hui, je vais voir ma famille. Aujourd'hui, c'est calme. Je suis en retraite. Moi, je suis en retraite, je peux le dire. Mais bien, voilà, il faut que tu me mènes. Il faut que tu m'ouvres les yeux et que tu remplisses mes paroles aussi.
[00:16:53] Je veux être vraiment sous ta grâce, mais sous ton obéissance de ne pas dire n'importe quoi.
[00:17:02] Et Jésus aussi a averti les docteurs de la loi que ceux qui ne font pas ce qu'ils disent sont semblables à un homme insensé qui construit sa maison sur le sable.
[00:17:18] D'ailleurs, dans Matthieu 24, je l'ai lu ce matin en plus, Jésus met en garde ses disciples et leur dit ne vous laissez pas abuser par des tromperies. Et il dit ensuite que Il faut absolument que votre foi soit basée sur un vrai fondement. Et il y en a qui le basent sur des vrais fondements, mais le font à leur façon. Et ceux-là seront sauvés au travers du feu. Mais le fondement doit être quelque chose d'important, qui correspond à notre théologie. Et enfin, dernier point, Jésus a également averti ses apôtres.
[00:18:03] il était entouré de disciples, de gens qu'il suivait, que s'il ne se souciait pas des plus petits d'entre eux, et là, il serait jeté dans le feu éternel. Vous pouvez le lire dans Matthieu 25, 31 à 46.
[00:18:23] ils seraient jetés dans le feu éternel. Et s'ils haïssaient les autres et devenaient ivrognes, ils subiraient le même sort. Ça, c'est dans Matthieu 24, 45 à 50. Jésus a des paroles très dures, mais ce ne sont pas des paroles dures. Ce sont des paroles qu'un père pourrait dire à ses enfants. Si tu continues sur la mauvaise voie, voilà ce qui va t'arriver.
[00:18:54] Voilà ta vie.
[00:18:58] Pensons-nous que Dieu avait un critère d'obéissance avant la résurrection de Jésus et aucun critère après ? Non, je ne pense pas.
[00:19:14] On pourrait dire que peut-être les personnes mortes un jour avant la résurrection de Jésus et jetées en offert auraient pu atteindre le ciel si elles avaient vécu un ou deux jours de plus. Non, car elles auraient encore vécu jusqu'au moment où les exigences divines de sainteté pour le salut ont pris fin. J'aimerais conclure.
[00:19:40] Enfin, pourrions-nous expliquer pourquoi Jésus lui-même a dit à une église d'Asie, des décennies après sa résurrection à travers Jean, « Celui qui vaincra sera revêtu de vêtements blancs. Je n'effacerai pas son nom du livre de vie et je confesserai son nom devant mon Père et devant ses anges. » Moi, ce verset-là, ça me fait voir, Seigneur, est-ce que je suis dans la norme de ta grâce ? Est-ce que j'accomplis mon devoir de chrétien, de disciple ? Seigneur, n'efface pas mon nom. Mon nom est écrit, mais n'efface pas, s'il te plaît. Je veux... Et le fait que Christ que Jésus confesse mon nom devant son Père, imaginez, ça veut dire que ma vie doit être, alors parfaite, non je ne pense pas, mais ma vie doit être en recherche constante avec ce que Jésus désire pour moi.
[00:21:00] dans l'injustice, c'est-à-dire je ne veux tromper personne, je ne veux pas abuser de personne, je ne veux pas voler quelqu'un, que ce soit d'une façon ou d'une autre, parce que tu vas confesser mon nom devant ton père, c'est dans l'Apocalypse 1.3.5. Si nous ne vaincons pas, nous ne serons pas vêtus.
[00:21:27] d'un vêtement blanc et Jésus effacera notre nom du livre de vie. Elle ne nous confessera pas, ne confessera pas notre nom devant son Père et les anges. Et Jésus est très clair là, vaincre, il faut vaincre. C'est ça, en fait, le voyage du pèlerin. Il faut vaincre. C'est la piniste. Il faut vaincre. Une fois, j'avais parlé sur la cordée, la montagne. Et une cordée, c'est sur des gens qui sont attachés les uns aux autres. Et c'est ça, l'Église. C'est quand il y en a un qui a du mal, on va le tirer. Celui qui est plus fort, il va être devant. Mais tout le monde au même endroit.
[00:22:17] Ils sont tous attachés. Ils sont tous attachés. C'est le corps de Christ. Donc, est-ce que tous ces personnages correspondent à notre théologie ? Et c'est vrai qu'au fil des décennies peut-être, On a beaucoup de gens qui ont eu peut-être tendance à prendre sur l'arbre le fruit qui les intéresse. Et puisqu'ils ne les intéressaient pas, on les écarte. Peut-être un peu ces paroles qui sont assez fortes. Oh non, ce n'est pas pour moi. Je veux juste la grâce de Dieu. Je veux juste un évangile de prospérité, etc. Voilà. Surtout pas de porter ma croix. Surtout pas.
[00:23:07] Et peut-être certains pensent que tout ça c'est le salut par les œuvres, non ? Parce que le salut est par la grâce, est par la foi. On a aussi ça dans Éphésiens 2, 8. Et ça révèle que le salut gratuit de Dieu, acquis par le sacrifice de Jésus, est donc conditionné par notre foi. C'est très clair.
[00:23:30] La foi obéit et se met en action et en œuvre. On en a parlé, je crois, dernièrement. La foi, c'est quelque chose qui se met en action. Ce n'est pas un truc, oui, j'ai la foi. Non, non. C'est un verbe d'action. L'obéissance. Paul le mentionne aux Romains. L'obéissance de la foi. Donc, c'est une action. Jacques a écrit que la foi sans les œuvres ne peut sauver et vice versa.
[00:24:02] Donc il existe une norme d'obéissance pour le salut. Et c'est ce que Jésus, Paul, Pierre, Jacques, Jean, Jude ont tous déclaré. Si nous ne croyons pas ce qu'ils croyaient tous, eh bien on est en danger. C'est le salut par la grâce, par la foi au Seigneur Jésus, mort pour nos péchés. Il n'est pas mort pour que nous puissions continuer à pécher. Ce n'est pas possible. La grâce de Dieu n'est donc pas inconditionnelle. Ce n'est pas une licence pour pécher. Au contraire. C'est une occasion de se repentir, de croire à Christ, au Seigneur Jésus, d'être pardonné, d'être habité et revêtu de la puissance du Saint-Esprit, comme je l'ai dit avant.
[00:24:53] de Dieu pour vivre dans la justice, persévérer avec les uns et les autres dans une foi sincère, dévouée à notre Seigneur Jésus Christ qui a tout donné, jusqu'à ce que nous nous tenions tous seuls devant Dieu pour rendre compte de ce que nous avons fait, de ce que nous avons fait, des talents que Christ nous a donnés, nous a confiés. C'est ça l'évangile. C'est ce qu'enseigne tout nouveau testament.
[00:25:25] Donc il ne faut pas être égaré par des faux enseignements, ça c'est important. Et j'aimerais terminer, soyons vigilants et clairs sur le salut que nous proclamons.
[00:25:41] Car beaucoup de nos amis, aussi peut-être aussi dans nos familles, vivent dans une fausse grâce. Combien je rencontre de gens qui vivent dans une fausse grâce. Et je vais terminer par ce texte très simple, très court, qui est dans Philippiens 2.12. Ainsi, c'est Paul qui parle, mais bien aimé, s'adresse à l'église, une église, vous qui avez toujours obéi non seulement quand j'étais présent, mais bien plus encore maintenant que je suis absent. Mettez en œuvre votre salut avec crainte et profond respect. Amen. Voilà ce que j'avais à vous dire ce matin. Et ça, c'est important pour notre doctrine, c'est la doctrine de Christ.
[00:26:39] Vous venez d'écouter le podcast de l'Église. À bientôt.